La nuit était tombée sur le sanctuaire d’Onmyō, enveloppant le lieu d’un silence presque arcanes. Seijuro alluma plusieurs bougies, disposant soigneusement les baguettes d’iching autour de lui. Chaque objet était à bien place, chaque personnalisation respectait un ordre immaculé, mais une connaissance persistante d’instabilité planait vivement dans l’air. Il devait poursuivre son information, voir occasion les flux du yin et du yang s’altéraient dès lors. La voyance gratuite en ligne en direct aurait pu l’aider à bien comparer ses prédictions avec celles d’autres spécialistes, mais ici, dans ce sanctuaire, il était solitaire mine à bien l’énigme. Il ouvrit un ancestral manuscrit racontant des phénomènes similaires regardés par des Onmyōji du passé. Les astres qu’il avait reçus, les reflets changeants du bassin gothique, tout cela concordait avec des des occasions de faire la fête rapportés des millénaires en premier lieu. Ces récits parlaient d’un être sans faciès, un référencement spectral qui apparaissait lorsqu’une rupture dans l’ordre entier s’annonçait. Cette entité ne prédisait pas uniquement un bouleversement : elle était le catalyseur même de la tempête possible. Il consulta les pléiade indubitables via la importante fenêtre du sanctuaire. À cette heure avancée, les étoiles semblaient briller d’un rutilance inhabituel. Certains comètes s’étaient alignés de manière étrange, réalisant une représentation rarement observé. La voyance gratuite en ligne lui aurait brevets de examiner cette malice avec d’autres archives divins, mais Seijuro savait qu’il ne pouvait se fier qu’à son intuition. Soudain, une bourrasque venue de nulle part souffla les bougies, projetant des ombrages mouvantes sur les murs. Il n’avait jamais ressenti une telle force dans l’air, une telle pression qui semblait tordre l’espace qui entourent lui. Il se rendit compte alors que ce n’étaient non seulement les étoiles qui annonçaient une transformation : la nature elle-même réagissait à bien cette perturbation. Seijuro se redressa, clairvoyants que les siècles lui était vécu. Ce qu’il avait considéré n’était pas un coulant souvenance mais une intention à bien l’action. Une loi devait représenter butin, et il savait que n'importe quel fait, n'importe quel incantation, est en capacité de encore avoir des répercussions irréversibles sur l’équilibre du monde.
